A l’attention de Freuid, Roy de la SLU.
Je me permets de vous envoyer ce message par pigeon express au nom de l’Armée des Damnés.
Ne prenez pas ombrage du fait que son Chef le Seigneur Hurin, m’ait chargé de prendre la plume pour le rédiger ; j’ai oui dire ici et là, qu’il vous avait quitté en des termes plus que ambigus pour ne pas dire sombres et mauvais ! J’ai donc pris sur moi, en tant que Conseiller de l’ADA et en accord avec tout notre Royaume, de rédiger ces quelques lignes (vous noterez au passage la finesse de l’encre utilisée ainsi que le parfum citronné du parchemin) destinées à vous faire part d’une demande qui nous tient à cœur.
L’objet de cette missive a trait à la géographie d’Ilshenar ; vous n’êtes pas sans savoir que ce monde est découpé en régions et que toutes les alliances qui y vivent se les partagent, qui en guerroyant, qui en marchandant. Malheureusement, et c’est un cruel constat qu’il me doit d’être fait, la logique du plus fort (face au plus faible) est souvent respectée. Situation parfois cocasse et dommageable lorsque une seule alliance réussit à contrôler 25, 30 ou 40 % de tout Ilshenar.
Certes, la Sainte Lumière qui rayonne toujours grâce à votre aura ou la modeste Armée des Damnés que je représente, n’en est pas arrivée là.
Le but de ma requète est assez simple : nous dirigeons une région qui jadis fut la votre, et Vous dirigez une région qui fut aussi jadis la notre en des temps encore plus immémoriaux. L’Armée des Damnés souhaiterait donc officiellement vous échanger les Terres du Sud (contrée trop saline et trop fraiche) contre les Marécages, région humide et nauséabonde qui sied mieux à nos créatures putrides.
Il est bien évident que nous pourrions apporter par exemple une compensation financière s’il s’avérait que les caisses du sud n’étaient pas proches d’un certain équilibre. Toute autre solution de négoce (pardonnez moi ce terme que pourtant je répugne !) serait étudiée avec le plus grand sérieux.
Nous attendons donc des nouvelles de Votre Majesté et restons ouverts à toute proposition visant à finaliser cet accord.
Bien à vous,
Loph le Sage, Conseiller de l’ADA.
Je me permets de vous envoyer ce message par pigeon express au nom de l’Armée des Damnés.
Ne prenez pas ombrage du fait que son Chef le Seigneur Hurin, m’ait chargé de prendre la plume pour le rédiger ; j’ai oui dire ici et là, qu’il vous avait quitté en des termes plus que ambigus pour ne pas dire sombres et mauvais ! J’ai donc pris sur moi, en tant que Conseiller de l’ADA et en accord avec tout notre Royaume, de rédiger ces quelques lignes (vous noterez au passage la finesse de l’encre utilisée ainsi que le parfum citronné du parchemin) destinées à vous faire part d’une demande qui nous tient à cœur.
L’objet de cette missive a trait à la géographie d’Ilshenar ; vous n’êtes pas sans savoir que ce monde est découpé en régions et que toutes les alliances qui y vivent se les partagent, qui en guerroyant, qui en marchandant. Malheureusement, et c’est un cruel constat qu’il me doit d’être fait, la logique du plus fort (face au plus faible) est souvent respectée. Situation parfois cocasse et dommageable lorsque une seule alliance réussit à contrôler 25, 30 ou 40 % de tout Ilshenar.
Certes, la Sainte Lumière qui rayonne toujours grâce à votre aura ou la modeste Armée des Damnés que je représente, n’en est pas arrivée là.
Le but de ma requète est assez simple : nous dirigeons une région qui jadis fut la votre, et Vous dirigez une région qui fut aussi jadis la notre en des temps encore plus immémoriaux. L’Armée des Damnés souhaiterait donc officiellement vous échanger les Terres du Sud (contrée trop saline et trop fraiche) contre les Marécages, région humide et nauséabonde qui sied mieux à nos créatures putrides.
Il est bien évident que nous pourrions apporter par exemple une compensation financière s’il s’avérait que les caisses du sud n’étaient pas proches d’un certain équilibre. Toute autre solution de négoce (pardonnez moi ce terme que pourtant je répugne !) serait étudiée avec le plus grand sérieux.
Nous attendons donc des nouvelles de Votre Majesté et restons ouverts à toute proposition visant à finaliser cet accord.
Bien à vous,
Loph le Sage, Conseiller de l’ADA.